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Matin Brun

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" La construction européenne ou le nouveau visage de la barbarie capitaliste et étatique", groupe Lucia Saornil, éd. du monde libertaire. (pas de c, citez la source!)

"Surprenant qund même que cette constrruction européenne, dont on nous parle si peu au fond et qui pourtant a d'aussi grande conséquences sur nos vies quotidiennes…
De directive en directive, d'accord de Schengen en traité de Maastricht, de monnaie unique en uniformisation de la production, l'Europe se construit sous nos yeux et pourtant hors de notre regard.
Qu'est-ce que la construction européenne ? Comment est-elle menée et dans quel but ? L'Europe signifie-t-elle la fin des états ? Est-ce un premier pas vers un monde sans frontières, débarassé du nationalisme et de la guerre ?
Voilà des questions simples et pourtant combien sont à même d'y répondre clairement ?
La construction européenne n'est pas seulement une nouvelle forme d'état, elle en est aussi une modernisation. Il est donc nécessaire de saisir les mécanismes de ce nouvel appareil de domination, afin d'adapter nos combats, tant au plan politique que syndical".




"1896-1936 :Durruti", éd. L'însomniaque,1996.
Livre multilingue (fr,angl,esp,it, all) et Photos nombreuses.

"Durruti imagine alors de commettre le braquage du siècle : s'emparer des réserves d'or de la banque d'Espagne, grâce à l'appui de la colonne madrilène Tierra y Libertad de la CNT, et les acheminer à Barcellone avec la complicité des cheminots de la CNT.
Durruti se rend incognito à Madrid por organiser cette action qui aurait pu sauver la révolutiopn. Mais au moment d'agir, les dirigeants de la CNT n'osent se décider, craignant de déclencher une guerre civile dans la guerre civile…"
Toujours les mêmes velléitaires anarcho-syndicaliste…

BEAU COMME UNE PRISON QUI BRULE
Julius Van Daal, éd. L'isomniaque, Paris, 1994.

"Ils ont surgit dans la nuit, déferlant par dizaine de milliers des slums de Whitechapel ou de Southwark, des ateliers et des docks, des bordels et des tavernes. Ils se moquent du pape et du roi, des rites et de la rente, de l'art de gouverner et de celui de gérer… Ils veulent couper la langue des sermonneurs et dévorer la main qui leur jette les miettes de l'expansion marchande… Ils brûlent de réaliser le vieux rêve de Cocagne des grandes insurrections londoniennes : voir enfin les fontaines publiques pisser du vin clairet."
Dans les premiers jours de juin 1780, le bas peuple de Londres se soulève aux cris de "Point d'esclavage". Les caves des dignitaires et les distilleries d'eau-de-vie sont soumises au pillage ; les prisons sont incendiées ; la banque d'Angleterre est assiégées par les furieux. Cette insurrection, sans chef ni doctrine, les historiens de tous bords l'ont occultée ou calomniée en espérant de la faire oublier. En voici une brève narration…

LA REVOLTE A PERPETUITE
Sante Notarnicola, éd. d'en bas, Lausanne, 1977.

D'un certain point de vue, Sante Notarnicola n'est qu'un assassin coupable de hold-up sanglants. Très exactement un de ces droits communs, haïs par la bourgeoisie et largement méprisés par les socialistes.
La manière dont Notarnicola raconte son itinéraire oblige à réfléchir autrement. On voit comment d'une situation typiquement sous-prolétarienne (la pauvreté rurale, l'institution pour les enfants, les travaux occasionnels d'un immigré du sud dans la banlieue de Turin) na^t une révolte profonde qui s'exprime de plus en plus difficilement dans le cadre du parti communiste et va exploser dans une violence dont Notarnicola fait aujourd'hui une critique politique.
Condamné à la prison à perpétuité, transféré depuis 11 ans de pénitencier en pénitencier pour sa participation à la lutte des prisonniers, Notarnicola n'est pas seulement un précurseur de la guérilla urbaine d'origine populaire, il est aussi une espèce de symbole des risques et de la dignité de la révolte sous-prolétarienne : contre toutes les tentations de se détruire.


Noël Godin: "anthologie de la subversion carabinée", l'âge d'homme, Paris, 1996.

Bouquin pavé (800 pages), de notre compagnon za tous, le bruxellaire Le Gloupier, attentateur patissier, terroriste burlesque et non moins vif argent infatiguable, anar quoi.

Cette perle se déguste sans répit, la jouissance n'en connaissant point. De la bande à Baader à Oscar Wilde, en passant par Ravachol, Libertad, Henry ou la bande à Bonnot, plus l'on dégluti, plus l'on à soif. Trésors d'informations, d'anecdotes, d'expérimentations originales, si l'on y tenait pas à ce point, c'est le livre parfait à incendier et à jeter sur la flicaille.
"Soit 290 sommets de la littérature qui fait bang-bang(Lu Xun), nous mettant mariollement les yeux en face des troubles".


Camillo Berneri "œuvres choisies" éd. du monde libertaire, paris, 1988.

Belle et riche contribution de Camillo, anar italien qui fut de toutes les luttes.
notamment en ce qui concerne la guerre d'Espagne.
La 4ème partie, "essais" , très instructive sans oublier une chouette préface de gaétano






 

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